« Itzuli albistegira

"Séjour au Nevada", the French edition of “Días de Nevada”, has just been published

2016-05-24  ¦  Publications

The French edition of Días de Nevada has just been published by Editions Christian Bourgois.

Bernardo Atxaga’s novel Días de Nevada (originally titled Nevadako egunak in the author's native Basque) was published at the end of 2013 (Pamiela) and was awarded the Euskadi Prize for Literature.

The French edition of the novel, translated by André Gabastou, has just been published by Editions Christian Bourgois.

Enthusiastic reviews are already coming in, such as this one from Swiss newspaper Le Temps and french Le Monde.

"Dans le désert du Nevada, les histoires fleurissent et se mêlent aux rêves et aux souvenirs. Un livre inclassable et jubilatoire. (...) Un vrai roman, comme il y en aura plusieurs au cours de ce récit en éclats d’histoires, lointaines ou immédiates. Vers la fin, Atxaga s'inquiète d’avoir pu laisser se glisser dans un poème "comme l’air dans un pneu la légèreté, la sotte arrogance de celui qui est sûr d’avoir raison". Il peut se rassurer, Séjour au Nevada est une merveilleuse et modeste tentative de trouver comment vivre. | Le Temps

L’auteur d’Obabakoak (Bourgois, 1991), parti avec sa femme et ses deux filles, a tiré de cette expérience un livre réjouissant, à la croisée des genres : autobiographie, essai, carnet de voyage, roman policier... Soit un ensemble hybride de plus d’une centaine de textes qui fait de cet exil consenti une aventure littéraire palpitante. (...) Sans doute parce que Séjour au Nevada est aussi un livre de deuil : le récit d’apprentissage d’un arrachement d’avec sa terre et d’avec les siens. La maladie de son père, celle d’un ami, mais aussi celle de sa mère, qui transparaît dans les coups de fil (drôles, au demeurant) que le romancier lui passe, sont autant d’ombres glissant sur la clarté éblouissante de ce Grand Ouest américain. Dire au revoir à son passé, sans s’en détourner toutefois : voilà ce que réussit ce beau livre d’exploration des grands espaces autant que des recoins de l’âme. | Le Monde (PDF)